Fig. 1 - Représentation schématisée d’un bassin versant
Fig. 2 - Position des cours d’eau étudiés en parallèle avec des études routières, autoroutières ou ferroviaires effectuées. Seuls ceux affectés de la lettre (f) figurent dans l’article.
Fig. 3 - Sources de la Garonne prise depuis l’aval du lac de l’Estany Major de Saboredo dont le pic du même nom (2800/2830 NGF).
Fig. 4 - Tableaux de calculs de la constante et de son écart-type
Fig. 5 et 6 - (5) Sources de la Neste (Pique) avec le Perdiguère en arrière-plan. (6) Cascade et lac d’Oô (1500 NGF)
Fig. 7 et 8 - (7) Profil en escaliers caractéristiques de la succession lacs ou cascades ou rapides qui marque la tête de la vallée. (8) Tracé (en noir) de la Neste d’Oô prolongée par la Pique à Luchon. Noter sur le profil, du Perdiguère à la cote 1500, la descente en escalier du torrent marquant les lacs et les cascades de la haute vallée glaciaire dont celle d’Oô.
Fig.9 - Tableaux de calculs de la constante et de son écart-type (échelles : ha et hm)
Fig. 10 - Tracé et profil du ruisseau d’Auzeville-Tolosane
Fig. 11 - Tableaux de calculs de la constante et de son écart-type suivant la méthode non simplifiée 1 (échelles: hm2 et hms) en raison d’un trop petit nombre de points.
Fig. 12 - Tracé et profil du Rieu Vergnet. En rose, la molasse. En gris, toutes les alluvions anciennes à modernes du Tarn. Noter à droite du profil, l’abrupt récent du Tarn. Tête : 283 NGF Confluence: 96.5 NGF Géologie : peu complexe. Molassique en amont et au confluent ; alluvions gravelo-argileuses tarnaises entre les deux.
Fig. 13 - Tableau de calculs de la constante et de son écart-type suivant la méthode 2.
Fig. 14 - Bassin hydrographique de l’Hers Mort. Le seuil de Naurouze se situe à l’angle droit en bas à droite dont ses côtés ont subi un net recul d’origine éolienne vers l’ouest et le sud-ouest capturant de nombreux ruisseaux. L’affluent principal est le Girou au nord. Toute la partie ouest jouxte le BV de la Garonne
Fig. 15 - Tableau de calcul de la constante et de son écart-type suivant la méthode 2
Fig. 16 et 17 - Extraits de la carte géologique concernant la Sère avec visualisation en bleu, sous Gensac, de la position des calcaires oligocènes en début de creusement par le fil d’eau.
Fig. 18 - Tableau de calculs de la constante et de son écart-type suivant la méthode 2.
Fig. 19 - Extrait de la carte géologique figurant les ruisseaux et leurs extrémités communes formant une boucle
Fig. 20 et 21 - Tableaux de calculs de K et de « e » du Lendou et du Verdanson
Fig. 22 - carte géologique simplifiée montrant, en partie amont du Lemboulas, son parcours dans les calcaires jurassiques (en bleu) récemment dégagés de leur couverture oligocène molassique (g).
Fig. 23 - Le Lemboulas à 10km de sa confluence avec le Tarn
Fig. 24 - Bassin versant du Lemboulas
Fig. 25 - Tableaux de calculs de K et de « e » du Lemboulas
Fig. 26 - Tracés en noir de la Boulzane en bas à gauche, de l’Agly en haut à gauche et de la réunion des deux à partir de St Paul-de-Fenouillet jusqu’à la mer à -60 sous son niveau.
Fig. 27 - Tableaux de calculs de K et de « e » de la Boulzane-Agly.
Fig. 28 - Tableaux du calcul de K et de « e ». Cette dernière valeur n’est pas excellente peut-être en raison des difficultés rencontrées à mesurer la longueur de la rivière au fond des gorges de Galamus. A défaut, on peut conclure aussi qu’il n’a pas tout à fait atteint son état d’équilibre par la difficulté qu’elle rencontre à « scier » les calcaires durs des gorges.
Fig.29 - Tracé en noir du Maury, naissant dans le massif calcaire du Grau de Maury en haut à gauche, pour se diriger vers le S-W pour rejoindre semble-t-il l’Agly avant d’être capturé à l’entrée des marnes crétacées de St Paul par le tracé primitif de la Boulzane-Agly (à comparer avec la fig.22). Celle-ci coule aujourd’hui en bas de la carte jusqu’à sa confluence avec le Maury à Estagel.
Fig. 30 - Tableaux du calcul de K et de « e ».
Fig. 31 - Cette carte positionne en noir le parcours du Verdouble. Elle est intéressante car elle présente non seulement celui-ci mais ses 2 affluents étudiés ci-après, Padern, la grotte de l’Arago et au sud le tracé partiel de la Boulzane-Agly.
Fig. 32 - Tableaux du calcul de K et de « e ».
Fig. 33 - Tableaux du calcul de K et de « e ».
Fig. 34 - Tableaux du calcul de K et de « e » (méthode 2)
Fig. 35 - Tracé du Fresquel de Baraigne sur fond orographique destiné à visualiser la disymétrie entre les deux rives de son bassin versant.
Fig. 36 - Tableaux du calcul de K et de « e » (méthode 2).
Fig. 37 et 38 : vallon du Lezert proche de la grotte St Dominique visitable (ci-dessous) dans ce chaos où on y entend le ruisseau coulant en profondeur entre les blocs
Fig. 39 - Tracé du Lezertou-Lezert. Il quitte le batholite pour l’Eocène au niveau de la zone blanche finale.
Fig. 40 - Profil du Lezertou-Lezert
Fig. 41 - Tableaux du Lezertou-Lezert (méthode M2). Droite imparfaite dès l’entrée dans l’Eocène vérifiée aussi par la plus haute valeur de l’écart-type jamais trouvée.
Fig. 42 - Tableaux du calcul de K et de « e » du Lezertou-Lezert (partie Sidobre batholitique). La traversée des granites est quasi parfaite mais avec un coefficient K faible, signe d’une érosion encore peu pénétrante gênée par la grosse quantité de blocs obstrant le passage des eaux.
Fig. 43 - Tableaux du calcul de K et de « e » du Lezert (partie aval ; sustratum éocene). La traversée de la zone molassique (coiffée de terrasses de l’Agout peu épaisses) est quasi parfaite mais avec un coefficient K fort, signe d’une érosion pénétrante nécessaire pour se raccorder de plain-pied avec l’Agout.