Né en 1947, Ingénieur de l’École de Géologie de Nancy (ENSG), ma carrière s’est orientée-après de courtes missions pétrolières et gazières en Algérie- , dans le Génie Civil au sein duquel j’ai acquis près de 50 ans d’expérience comme chercheur et responsable à 80% environ d'études routières et ferroviaires dont 23 dansles Laboratoires des Ponts des CETE de Lyon puis de Toulouse avant de poursuivre dans le secteur privé et après ma retraite comme consultant dans divers domaines.
Dès la fin des années 80, le Laboratoire Central de Paris (LCPC) me nommait via le CETE de BORDEAUX, expert préfectoral pour les risques naturels de toute l’Occitanie actuelle et de l’Aquitaine. Ma mission consistait à me rendre sur des sites présumés sinistrés, de sécuriser les lieux si nécessaire et de rédiger un dossier destiné au classement par les bureaux ministériels concernés, en commune sinistrée.
J’ai rédigé plusieurs centaines de rapports d’expertises mais l’essentiel de mon activité s’est concentré sur les grands projets autoroutiers puis ferroviaires (avec l’arrivée des premiers projets de tracés TGV) le plus souvent en phases préliminaires et APS pour prévenir la traversée de zones à risques : glissements, effondrements de toute origine, sols compressibles etc. bref tous les dangers induits par les impacts de travaux mal positionnés dans le paysage géologique.
En vue d’obtenir des résultats de plus en plus infaillibles (en Génie Civil le droit à l’erreur ne devrait pas exister), j’ai été obligé de me spécialiser très vite dans l’étude du Quaternaire via la géomorphologie, toute catastrophe naturelle ancienne laissant dans le paysage une trace indélébile qu’il fallait savoir localiser, éviter si possible et estimer en terme de risque pour un projet donné.
C’est ainsi que j’ai été retenu par le CETE d’Aix pour implanter le viaduc de Millau parmi 19 solutions envisageables.
Toujours expert et consultant après ma retraite, j’ai été appelé pour étudier par exemple en 2020 les fondations de trois pylônes du grand téléphérique de Toulouse-Rangueil dont l'un, inévitable, monté sur glissement
Expérience professionnelle
J’ai ainsi rédigé plusieurs centaines de rapports d’expertises mais l’essentiel de mon activité s’est concentré sur les grands projets autoroutiers puis ferroviaires (avec l’arrivée des tracés TGV) le plus souvent en phases préliminaires et APS pour prévenir la traversée de zones à risques déjà cités. A l’époque, nul ne connaissait la liste exacte des dangers pouvant être causés par les impacts de travaux de terrassements mal évalués dans le paysage géologique.
En vue d’obtenir des résultats de plus en plus infaillibles (en Génie Civil le droit à l’erreur ne doit pas exister), j’ai été obligé de me spécialiser dans l’étude du Quaternaire via la géomorphologie, persuadé que toute catastrophe plus ou moins ancienne laissait dans le paysage une trace indélébile à identifier.
C’est ainsi que j’ai été retenu par le CETE d’Aix pour implanter le viaduc de Millau parmi 19 solutions envisageables.
Toujours expert et consultant après ma retraite, j’ai été appelé pour étudier par exemple en 2020 trois pylônes du grand téléphérique de Toulouse-Rangueil.
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